Elon Musk ne cache pas sa consommation de kétamine. Si bien que les renseignements russes voudraient se servir de la drogue pour le manipuler.
Le Kyiv Post accuse la Russie de vouloir exploiter Elon Musk au profit de ses services secrets, grâce à la drogue. Ce journal est la principale publication anglophone en Ukraine. Dans ses colonnes, on apprend que les agents de Vladimir Poutine étudieraient sérieusement le cas du milliardaire.
Elon Musk, patron de Tesla, pilote un empire de plusieurs centaines de milliards de dollars. Mais ceci ne l’empêche pas d’évoquer ouvertement sa consommation de kétamine. Lors d’un podcast, le dirigeant avait aussi été filmé fumant un joint au cannabis. Une drogue légale dans certains états américains, mais pas en France.
Pour les renseignements de la Fédération de Russie, cette appétence pour les psychotropes est une aubaine. C’est un ancien agent spécial du FBI qui l’affirme. Jonathan Buma, affecté au contre-espionnage, évoque en effet le risque de « chantage » lié à cette faille.
La drogue n’est pas la seule faille d’Elon Musk
En 2024, le Wall Street Journal rapportait aussi qu’Elon Musk a déjà consommé de la cocaïne. Mais pour Jonathan Buma, une autre faille menace la sécurité de l’homme d’affaires. Il s’agit des femmes. En effet, le propriétaire de SpaceX est connu pour enchaîner les conquêtes.
Elon Musk a par exemple été aperçu au bras d’Amber Heard, de Grimes ou encore de Talulah Riley. Des relations parfois tumultueuses, dont il peine à dissimuler la teneur. En prime, des médias rapportent que l’entrepreneur ne serait pas assez présent auprès de ses enfants.
Autant de dossiers potentiellement gênants, pour n’importe quelle personne de notoriété publique. La Russie l’a bien compris. À ce jour, toutefois, on ne sait pas si le pays a finalement pu exploiter cette brèche. Si c’est avéré, il pourrait s’agir d’un risque majeur pour la sécurité nationale des États-Unis.
Un danger pour les États-Unis ?
Si cette nouvelle inquiète certains observateurs, c’est car Elon Musk est aussi en charge du DOGE. Cette agence gouvernementale américaine a pour objectif de réduire les dépenses publiques. Son acronyme est tiré de la cryptomonnaie du même nom.
Accédant à de potentielles informations de ce département, la Russie pourrait donc être soupçonnée d’ingérence. Ce ne serait pas la première fois. Récemment, on a notamment accusé le pays d’avoir tenté d’influencer les résultats de l’élection présidentielle en Roumanie.
