Antoine de Caunes, animateur et comédien, évoque sans détour les psychotropes. Il offre une perspective honnête sur ses excès et la cocaïne.
Les expériences d’Antoine de Caunes avec les psychotropes
Au cours de sa carrière d’animateur et d’humoriste, Antoine de Caunes a souvent flirté avec la frontière du politiquement correct. Dans un interview avec Éric Dussard sur RTL, il a confié avoir expérimenté des substances psychotropes. Notamment à l’époque où la culture alternative et la contre-culture dominaient la scène artistique parisienne.
Curieux de nature, Antoine de Caunes semble avoir abordé ces expériences comme une forme d’exploration personnelle. Une solution, semble-t-il, pour chercher à élargir ses propres horizons créatifs. Pour de Caunes, ces expériences ont parfois été révélatrices, mais aussi dangereuses. Ce qui n’est pas sans faire écho aux récents déboires de Stéphane Plaza avec les produits stupéfiants.
Pour lui, travailler sur de longues émissions populaires tout en étant sous l’emprise de drogues ne fait ainsi pas vraiment sens. Ce qui peut se comprendre, étant donné que les psychotropes peuvent altérer le discernement des utilisateurs.
Des saladiers de cocaïne chez Canal+ ?
Malgré une curiosité pour les drogues plus « légères » et le vin rosé, Antoine de Caunes a également évoqué la question de la cocaïne. Souvent associée au milieu du showbiz, cette substance lui aurait tapé dans l’œil à une époque où la fête régnait en maître au siège de Canal+.
En revanche, les fameux « saladiers de cocaïne » évoqués dans la presse people ne seraient que des rumeurs infondées. Antoine de Caunes l’assure, n’en déplaise aux commères.
La cocaïne est aujourd’hui la seconde drogue la plus consommée en Europe, juste après le cannabis. Il s’agit d’un produit classé comme stupéfiant et donc interdit dans la plupart des pays du Vieux Continent. Faire usage de cette substance peut générer un sentiment d’euphorie, et coupe la fatigue.
Mais le revers de la médaille peut être violent. En effet, la cocaïne fait vieillir prématurément les neurones. Ce n’est d’ailleurs pas le seul inconvénient de cette drogue, qui fut auparavant commercialisée comme un médicament. Ainsi, la fameuse poudre blanche endommage aussi les muqueuses ou la dentition.
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