Le raton laveur est un animal considéré comme nuisible dans certaines régions. Mais ici, c’est surtout le propriétaire de l‘animal qui en a pris pour son grade.
C’est une histoire qui fera sûrement le tour de nombreuses tables. Aux États-Unis (bien évidemment), un contrôle de routine de la police a permis de découvrir de la drogue dans une voiture. Mais quelle ne fut pas la surprise des agents lorsque ceux-ci firent face à un raton laveur avec une pipe à crack dans la gueule ! Les forces de l’ordre ont alors rapidement dégainé leur smartphone pour immortaliser la scène en vidéo.
L’image a de quoi faire sourire, mais rappelle tout de même cruellement les difficultés du pays face à ce genre de substance. Et pour cause : depuis les années 2010, une crise des opioïdes fait des ravages au sein des frontières de l’Oncle Sam. Rappelons cependant que le crack, autrement appelé cocaïne base, est un stimulant, et non un opiacé. Tout comme la méthamphétamine, d’ailleurs, à laquelle était aussi destinée la pipe trouvée par le raton laveur.
Pas de danger pour le raton laveur ?
Selon les médias locaux, le raton laveur serait aujourd’hui en bonne santé. Il appartient en fait au même propriétaire que l’automobile. Ce dernier disposait d’ailleurs de papiers en règle pour pouvoir détenir l’animal en toute légalité.
En ce qui concerne les produits stupéfiants retrouvés dans sa voiture, en revanche… Ce n’est pas le cas. En effet, le contrevenant était en possession, justement, de « meth » et de crack. Au total, ce sont même trois pipes qui auront été retrouvées dans la voiture.
Quelques conseils
Il est recommandé d’éviter de laisser un animal de compagnie seul trop longtemps, et surtout dans une voiture. Encore plus lorsque de la drogue est à disposition, car le métabolisme des animaux est différent et ceux-ci pourraient succomber à une overdose.
Pour rappel, des quantités infimes de drogue peuvent être transmises de l’homme à l’animal. Ceci, si l’usager transpire en touchant son compagnon à quatre pattes. Une mésaventure qui n’arrive heureusement que dans de très rares cas. En effet, la plupart du temps, les quantités de produit en question sont négligeables et donc inoffensives.
